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 shake it out —lysarès

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CURSUS POLITIQUE
Lysander Scamander
Lysander Scamander

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MessageSujet: shake it out —lysarès   shake it out —lysarès EmptyLun 9 Fév - 14:25






I am done with my graceless heart so tonight I'm gonna cut it out and then restart. Cause I like to keep my issues drawn. It's always darkest before the dawn


Lysander pénétra dans la salle abandonnée. Elle était remplie d’objets en tout genre, de toute taille, de toute forme, de toute utilité. Après tout cette salle était pas mal fréquentée de jour et avait la réputation d’être un peu le dépotoir -pour ne pas dire déchèterie- de Spinks. Pour sa part, Lysander avait toujours trouvé cette salle fascinante. Curieux de nature, s’intéressant à tout et n’importe quoi, on pourrait presque dire que Lysander avait manqué sa vocation de Serdaigle en étant réparti à Gryffondor. Les gens utilisaient cette salle pour cacher des objets, voire pour se cacher eux même tant elle était grande. Lysander se souvenait s’y être déjà réfugié par le passé, pour échapper à Darcy et Lorcan. Notamment juste après « l’incident » -qu’on ne rappellera pas. Il n’avait pas su où aller, et cette salle lui avait semblé sur le coup assez grande, assez remplie pour pouvoir dissimuler même un troll entre deux étagères jonchées de babioles. Ce n’était probablement pas très loin de la vérité, quand il y pensait.

Lysander déambulait ainsi dans la salle, les sens en alerte, se concentrant pour trouver l’objet de son désir. Bella et lui avaient passé une partie de la fin d’après-midi et le début de soirée ensemble. Ils avaient longtemps attendu Arès tout à l’heure, mais celle-ci ne pointa jamais le bout de son nez, et ne se montra pas même au diner.  Peut-être n’était-elle tout simplement pas d’humeur à voir qui que ce soit. Peut-être avait-elle un examen le lendemain et elle travaillait d’arrachepied. Lysander et Bella avaient passé une partie de l’après-midi à la chercher, dans la bibliothèque, dans les cachots, dans sa chambre, partout. Billie et lui avaient fini par abandonner leurs recherches. Et ils avaient fini, comme d’habitude, à parler de tout et de rien, ce soir-là. Mais quelque chose en particulier avait retenu l’attention de Lysander. Une simple phrase, pas grand-chose, mais qui fit un déclic dans la tête de Lysander. Il avait suffi à Bella d’évoquer pour x raison la cape d’invisibilité pour que le cerveau de Lysander fasse tilt. « Mais, il doit y en avoir dans la salle abandonnée ?! T’imagine  un peu si on la trouve ? » Bella avait rigolé. « Ne sois pas stupide, qui laisserait ça là-bas ? » Elle marquait un point. Mais Lysander se souvenait d’un jeune homme qui était revenu de là-bas une fois avec un miroir à double sens -bon certes, largement fissuré, mais un miroir qui marchait quand même. Il ne dirait pas non à ne serait-ce qu’un morceau de cape d’invisibilité. Ça pouvait toujours servir. Voici donc ce qu’il faisait, voilà donc pourquoi il était en train de s’enfoncer, de se perdre dans l’immensité de cette salle abandonnée. Il était assez tard, le diner était déjà presque terminé dans la salle commune. La salle abandonnée était éclairée par quelques bougies dispersées çà et là, ce qui rendait la tâche plus ardue pour les yeux de Lysander, qui auraient bien besoin de sa paire de lunettes en ce moment même. Il ne savait même pas à quoi ça ressemblait, d’abord, une cape d’invisibilité. Ça pouvait très bien être invisible à l’œil nu tiens. Lysander aurait l’air malin. Mais il était buté de nature, et pas du genre à se laisser abattre. Il reviendrait le lendemain, le surlendemain… et tous les soirs de la semaine s’il le fallait. S’il n’avait pas fouillé de fond en comble toute la salle il ne décréterait pas qu’il n’y avait pas de cape là-dedans. Parfois son côté têtu prenait le dessus sur sa curiosité, et il comprenait alors mieux pourquoi le Choixpeau lui avait préféré Gryffondor à Serdaigle.

Cette salle c’est vraiment n’importe quoi, il n’y a rien qui est rangé ou classé… soupira intérieurement le Scamander. Il déambulait entre les étagères, tables, armoires et meubles en tous genres, devant parfois se serrer ou se baisser pour pouvoir trouver un passage. Après une traversée périlleuse Lysander se retrouva même à ramper par terre. Lorsqu’il releva la tête, assise sur une table à quelques mètres de lui se trouvait une jeune fille… Une jeune fille qu’il connaissait ! « Arès ?! » Lysander se releva et s’approcha d’elle, surpris.  Il plissa les yeux. Oui, c’était bien elle. Il était venu trouver une cape et il la trouvait elle. Pour lui qui l’avait cherché toute la journée, il n’aurait pas pu mieux tomber. Mais ça n’en n’était pas moins surprenant.  «   Qu’est-ce que tu fais là ? » Il s’assit sur la table sur laquelle elle était perchée, juste à côté d’elle. «  Je ne m’attendais pas à te voir là, on s’est fait du souci avec Bella. On ne t’a pas vu de la journée. Tout va bien ? » Demanda Lysander avec une pointe d’inquiétude dans la voix. Il posa une main sur son épaule et essaya un sourire pour dédramatiser la situation. Il n’avait peut-être parlé qu’à l’interrogative mais comprenez-le, c’était un sacré hasard de la trouver là, avouez ! Puis Lysander songea que si elle était là, sur une table, seule… c’était sûrement qu’elle avait, justement, besoin d’être seule. Elle n’avait peut-être pas envie de parler. Et puis elle n’était pas venue à leur rendez-vous quotidien, après les cours. La présence de Lysander n’était peut-être même pas souhaitée. Il retira sa main de l’épaule de la Nott, et se retint de poser davantage de questions.

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CURSUS MÉDICOMAGIE
Arès L-R. Nott
Arès L-R. Nott

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MessageSujet: Re: shake it out —lysarès   shake it out —lysarès EmptyMar 10 Fév - 2:02



« dissimulée à travers un bordel matériel  »




Des heures se sont écoulées durant l'errance de la jeune-Nott. Elle s'est vue traversée d'indénombrables couloirs, à croisée  quelques silhouettes inconnus avant que ses pas ne parviennent à cette salle abandonnée. Dans sa hâte la brune en avait délaissé ses cours, ses quelques heures d'écoutes auxquelles elle se devait encore de participer. deux ou trois petites et anodines heures de pratique et de théorie. Et si ses souvenirs étaient revenus une fois la porte de la salle abandonnée passé, il était déjà selon elle bien trop tard pour rebrousser chemin. Elle aurait put. Elle aurait put faire demi-tour, retrouver les traces de ses pas imaginaires et les suivre aveuglément en se souvenant encore des couloirs qu'elle avait traversé. Sa mémoire visuelle était encore intacte, si fraîche qu'Arès aurait put atteindre la salle de cours de médicomagie avant même que le professeur n'est fait son entrée. Pourtant, elle n'en fit strictement rien. Au lieu de ça, ses pas s'avancèrent d'avantage à travers les amas d'objets.

De droite à gauche, en bas,puis en haut. Peut importe le nombre incalculable de fois où la jeune-Nott s'est retrouvée au milieu de cette salle abandonné, Arès n'a jamais était dans la capacité même de compter distinctement le nombre d'objets dissimulés à travers ces quatres murs. Une belle superficie calculable dont chaque objets peut en dissimuler le double, le triple. Son regard balaye la pièce, retrouve même parfois quelques bibelots déjà aperçus lors de ses précédentes visites. Arès les observe, les détaille quelques minutes en se demandant parfois s'ils n'ont pas changés de place. C'est idiot, mais ce détail à son importance. Car, au milieu du bordel, d'un rangement dont le classement est incompréhensible, Arès est quant-à-elle persuadée que chaque choses est à sa place. A croire que chacun des objets aperçus, possèdent des similitudes incomprises par la majorité des élèves. Une reflexion un peu bancale, comme la plupart des idées qui s'animent en elle. Alors en délaissant un classement encore insaisissable ,la jeune-Nott s'égare entre deux étagères. Caresse de son index le bois d'hêtre et de chêne qui s'entrelace à travers les rebords du meuble. Parfois, dans sa danse son index vient à toucher un objet. un des milliers ou des milliards qui se dissimulent dans la pièce. Et, plus les minutes s'écoulent , plus Arès se perds entre les bibelots. Les objets recouvrent ses pensées, et sa curiosité ne peut empêcher la jeune-femme de détailler plus intensément ceux qui viennent jusqu'à elle. ces objets qui interpellent son regard. ceux qui l'amènent à puiser dans ses souvenirs, ou bien même à laisser libre court à son imagination. Car si les connaissances de la demoiselle Nott sont nombreuses, elles sont parfois insuffisantes devant l'amas d'objets inconnus laissés par-ci par-là. Alors Arès redécouvre encore une fois les lieux, ces quatre murs immuable où se sont échoués un tas de bibelots, presque entassés dans les moindres recoins.

Personne ne s'aventurerait à cette heure-ci dans cette salle abandonnée, Arès en était persuadée à force de côtoyer celle-ci. Une heure creuse, une de celle où la plupart des étudiants de SPINKS étaient pour la plupart en cours. Alors, même si la brune était censée être n'importe où sauf ici, elle s'y attardait d'avantage. Entre la solitude que lui offrait ses falaises et l'évasion que lui procurait cette salle abandonnée, la jeune-Nott avait ainsi l'opportunité de délaisser ses problèmes dans les couloirs de l'établissement. Quelques heures, suffisamment longtemps pour lui permettre de revenir à elle. A force de s'égarer dans les indénombrables recoins de la pièce, Arès avait retrouvé l'un de ses objets fétiches. un télescope, un objet plus moldus que sorcier qui n'avait jamais cessé de fasciner la sang-pur. une porte pour admirer d'un peu plus prés les étoiles qui parsèment le ciel. Et si le plafond l'empêcherait d'admirer un ciel étoilé, les doigts de la jeune-femme venaient à caresser l'objet. à détailler le fonctionnement de celui-ci pour enfin s'assoir à quelques centimètres de celui-ci. les minutes s'écoulent, encore et son regard se perd un instant dans cet objet moldu. elle pense, et ses pensées la ramènent à ses nuits d'observation où gamine elle s'amusait à parcourir le ciel. elle se laisses embarquée, si bien que c'est une voix familière qui vient l'extirper de ses rêveries passagères.  « Arès ?! »  doucement les souvenirs s'estompent, et la voix familière se faufile jusqu'à elle comme un mirage. elle sait à qui appartient cette voix, elle la reconnait sans grande-peine , mais s'étonne pourtant qu'elle soit parvenue jusqu'à elle. Alors, son visage dérive vers lui, et ses prunelles viennent détailler ses traits familiers qu'elle vient si souvent à côtoyer ses temps-ci. Lysander. «   Qu’est-ce que tu fais là ?  Je ne m’attendais pas à te voir là, on s’est fait du souci avec Bella. On ne t’a pas vu de la journée. Tout va bien ?  » une grimace s'immisce un instant sur son visage, jolie-preuve et indice même qui révèle au jeune-homme son oublie au sujet de l'un de vos fameux rendez-vous. à croire que sa mémoire fut prise en otage au milieu de ces amas de bibelots. « J'attendais que tu me trouves, j'étais bien cachée, n'est-ce-pas ? » et ses lèvres s'étirent machinalement pour offrir au jeune-homme un de ses sourires. pas ceux qu'elle balance à tout bout de champs pour les abandonner aux élèves, mais un de ces sourires sincères qu'elle garde précieusement au fond d'elle. Et dans sa chute le long de son épaule, sa paume de main vient rattraper la tienne. Elle la retient, gentiment, comme pour témoigner de son attachement à ton égard.« Je vais bien Lysander, les objets m'ont juste encore une fois prise d'otage à cause de mon éternelle curiosité. Et puis, tu me connais il faut toujours que je sois là où personne n'est. »





made by pandora.

   




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CURSUS POLITIQUE
Lysander Scamander
Lysander Scamander

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MessageSujet: Re: shake it out —lysarès   shake it out —lysarès EmptyJeu 12 Fév - 2:20

Si voir Arès ici était inattendu, c’était d’un autre côté un réel soulagement. Le sourire de la jeune femme fit s’évanouir toutes ses craintes : à moins qu’elle ne joue la comédie, tout allait pour le mieux, il semblait. Lysander se détendit, lui sourit en retour et cessa de se faire du souci. Il avait tendance à s’inquiéter pour un rien, lorsque sa routine se voyait chamboulée. Il se repassait en tête des scénarios plus farfelus les uns que les autres, pensait au pire à chaque fois qu’il se retrouvait confronté à un imprévu. C’était un pessimiste, Lysander. La faute à son naturel affectueux et protecteur… Toujours à vouloir s’occuper de tout le monde, toujours à vouloir tout maitriser sur le bout des doigts. Cela couplé avec sa tendre maladresse, et avec (la plupart du temps) de bonnes intentions, il pouvait parfois avoir l’air lourd. Il ne se rendait pas compte.

«J'attendais que tu me trouves, j'étais bien cachée, n'est-ce-pas ? » Sa main retient celle de Lysander, qui tombait de l’épaule de la jeune fille. Lysander y exerça une légère pression, avec douceur. « T’es trop forte. » Dit-il, presque pour se moquer, rentrant dans son jeu. «  Même que pour tout te dire, ce n’est pas toi que je cherchais ici, je n’y aurais jamais pensé. Je venais pour une toute autre raison. » Renchérit-il. Arès répondit à la suite de ses interrogations :  «Je vais bien Lysander, les objets m'ont juste encore une fois prise d'otage à cause de mon éternelle curiosité. Et puis, tu me connais il faut toujours que je sois là où personne n'est. »
Cela expliquait donc l’absence inhabituelle de la jeune femme. Lysander ne lui en voulait pas. Cette salle pouvait très facilement faire perdre la notion du temps. Lysander aurait pu facilement être à sa place : prendre un objet dans ses mains, essayer de le comprendre, l’étudier sous toutes les coutures. Observer avec minutie chacune des fissures, chacune des marques qui le constituent. Décortiquer les traces du temps, découvrir son histoire –s’y plonger, s’y perdre. L’imaginer dans les mains d’autres gens. Emettre des hypothèses sur son usage. Le dévorer des yeux, le toucher mais aussi le sentir. Employer tous ses sens pour comprendre l’objet dans son intégralité.
Le reposer à sa place, tout en s’interrogeant sur la raison de sa présence ici. Pourquoi-t-on voulu s’en débarrasser ? Pourquoi l’avoir posé ici, à cette étagère ? Pourquoi entre ces deux objets là en particulier ? Voulait-on le cacher pour le récupérer plus tard ? Ou simplement s’en débarrasser ?
Puis prendre un nouvel objet. Reproduire les mêmes étapes, se concentrer à nouveau, sans se laisser distraire. Encore et encore. Il ne s’en lasserait pas. Y penser lui donnait envie de commencer dès maintenant. C’était probablement ici le paradis de Lysander, le rêveur. Mais il ne laissait désormais que peu de place à ce genre de distractions.

« Je comprends. Cette salle est fascinante, n’est-ce pas ? J’y passerais bien des jours, à essayer de percer tous ses secrets.  » Lysander tourna la tête, balayant du regard les objets se trouvant à la portée de ses yeux. Rien qu’autour d’eux il y avait de quoi passer une après-midi entière. S’il avait su qu’elle était là, il serait venu bien plus tôt. Il se leva et s’approcha d’une étagère, où quelques bricoles semblaient se disputer pour le peu de place qu’il y avait. « Je ne l’ai jamais fait pourtant. » Confessa-t-il, dos à Arès, avec une pointe de regret dans la voix. Il n’en avait jamais eu le temps. Ou moins il n’avait jamais voulu trouver le temps de le faire. Désormais, son temps était laborieusement partagé entre ses cours, le club de duel, sa vie amoureuse désastreuse et quelques moments avec Arabella et Arès en fin de journée. Le moment qu’il s’était pris pour partir à la recherche de la cape d’invisibilité était une rare exception à la règle -parce que c’était par pur intérêt. Autant dire qu’il n’avait plus de temps libre pour lui-même du tout. Ça n’était pas plus mal, quand il y pensait. Dieu sait les pensées sombres qui pourraient lui revenir en tête une fois qu’il serait confronté avec lui-même, pour de vrai. Sans qu’il puisse se cacher derrière un bouquin, une baguette, les rires de ses amis. Il n’était pas sur de vouloir le découvrir. Un simple objet –mettons une baguette de cyprès- pourrait facilement raviver des souvenirs douloureux. Et dans son cas, même certains souvenirs joyeux étaient douloureux… Renvoyant à une époque désormais révolue.

Mais il fallait croire que sa curiosité était plus forte que tout. Il demanda, toujours planté devant l’étagère : « Qu’as-tu trouvé ? » En une journée passée à déambuler autour de toutes ces merveilles, qu’est-ce qui avait bien pu lui taper dans l’œil ? Lysander ne dissimula pas le grand intérêt qu’il y avait derrière cette question a priori anodine. Peut-être même avait-elle trouvé une cape d’invisibilité, tiens, ce qui éviterait à Lysander de longues heures de recherches. « Il y avait quoi de si intéressant pour que tu oublies notre rendez-vous ? » Ajouta-t-il, d’un ton quelque peu railleur. Ce n’était pas un reproche. Il était juste curieux, tout comme Arès l’était d’ailleurs. Voilà tout. Lysander, toujours debout se retourna vers elle, un sourire un peu moqueur accroché aux lèvres. Il se demandait bien ce qu’elle avait à lui raconter. Arès était une fille qui n’avait pas fini de l’étonner.
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