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 under need your clothes [Apshodel]

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CURSUS JOURNALISME
Dominique Weasley
Dominique Weasley

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MessageSujet: under need your clothes [Apshodel]   under need your clothes [Apshodel] EmptyJeu 19 Fév - 23:13

Under needyour clothes
Asphodel Greengrass
feat.
Dominique Weasley


 

 



 

 


Ton regard se perd dans le néant, bercée par le bruit des vague qui s'écrase furieusement contre les falaises, tu essayes d'échapper à cette réalité qui te pèse. T'es qu'une ombre sans lui. Par Merlin ce que tu peux aimé ce type. Tu ne peux pas imaginer de vivre sans lui. Non. Cette perspective semble intolérable et pourtant... Et pourtant t'en es toujours au même point. Jolie petite blonde qui peut pas s'empêcher d'aller voir ailleurs, de goûter au plaisir charnel, encore et encore, inlassablement. Merveilleuse petite blonde qui se transforme en garce. Tu le blesses. Et pourquoi? Parce que t'es incapable de te contenter d'un seul homme, non, tu les veux tous, quelques instants, quelques minutes, tu veux sentir le pouvoir de la séduction te brûler la peau et te ronger d'excitation. Tu en as besoin. Tu en as réellement besoin. Et tu t'attends presque à ce qu'il l'accepte sans broncher. Alors les mots se perdent. Alors les mots se déversent. Alors les mots blessent... Bien plus que vous ne l'auriez voulu. Bien plus que vous ne puissiez le supporter. Le truc, c'est que l'amour s'est mêlée de cette foutue histoire. Il s'est insinuer en vous, s'est répandu dans vos veines jusqu'à faire battre vos cœurs à l’unisson. Le truc, c'est que l'amour agit comme un poison. Il vous ronge les entrailles. Tu 'las jamais autant détesté depuis que tu l'aimes. Parce qu'avant, la possibilité de le perdre ne te paralysait pas à ce point. Mais ce n'est plus pareil, non, parce que tu l'aime, parce que tu ne pourrais pas le perdre, parce que tu ne pourrais pas vivre sans lui, parce que tu pourrais encore moins le voir dans les bras d'une autre... Et tu t'attends à ce qu'il t'offre une liberté que tu serais incapable de lui donner. L'amour est destructeur. Vraiment. Et, par Merlin ce que tu peux l'aimer. Les mots résonnent, indélébiles. Tes mains se plaquent sur tes tempes et tes doigts se crispent. Si tu pouvais juste arrêter de penser, de réfléchir. Tu te torture l'esprit, tu t'imagines le pire, parce que le moindre de ses mots à été dis sur le coup de la colère... Mais l'important c'est qu'ils aient été dis... Et pensé. Alors tu imagines le pire, parce qu'à ce stade là, c'est tout ce que tu peux faire. Tu sais que vous finirez par vous retrouvez... Mais une part de toi crève de trouille à l'idée que ce soit la dernière fois... La toute dernière fois. Tu crèves de trouilles à l'idée qu'il puisse plus supporter tes conneries et quelques part... Qui l'en blâmerait?

Alors, t'es là, sur ton pauvre caillou, à regarder les vagues venir se jeter sur la roche. T'es là, à regarder les vague crever. Tu te laisse envahir par cet atmosphère. Tu t'abandonnes complètement. Tu t'évades. T'es plus réellement là. Tu vagabondes, là où ton esprit n'a plus d'attache, là où ton esprit n'a plus à s’inquiète. Tu te eprd dans ce lointain. Tu respires, profondément; Tu sens l'air envahir tes poumons. Tu ne penses à rien. C'est exactement ce qu'il te fallait : lâcher prise. Alors tu te lèves, pour savourer un peu plus l'instant. Tu tends les bras perpendiculairement à ton corps. T'es prête à t'envoler. Et tu sens le vent fouetter ton visage et lacéré ton corps, il menace de te pousser d'un côté comme de l'autre. Il se mêle à tes cheveux pour y foutre le bordel. Tu le laisse faire. Indomptable, un peu comme toi. Tu te sens libre. Tu te sens vivante, à flirter avec la mort; Ton corps pourrait très bien basculer dans le vide et s'écraser. Tu te sens fragile... Presque sensible. Habituellement, c'est pas ce genre de sentiment qui t'habitues. T'es plus une fille de feu, de colère, de rage et d’agacement... Tu fonctionnes pas dans la douceur et la fragilité. Pourtant, là, t'es plus vulnérable que jamais. Tu as les joues rosies, ce qui tranche particulièrement avec le teint de porcelaine de ta peau. Tu soupire. laissant finalement retombé tes bras mollement contre ton corps. Y a cette présence. cette imposteur qui vient de te voler cet instant. La fragilité s'évanouit, bouffée par la colère. T'es une fille de feu, Dominique. Tu tourne lentement ton regard azurée vers l'intrus. Asphodel Greengrass. Tu détournes tes orbes d'elle. Un nouveau soupire. Qu'est-ce qu'elle te veut?
© Gasmask


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CURSUS ENCHANTEMENT
Asphodel Greengrass
Asphodel Greengrass

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MessageSujet: Re: under need your clothes [Apshodel]   under need your clothes [Apshodel] EmptyMar 24 Fév - 1:45

under need your clothes
dominique & asphodel
Certains jours étaient plus sombres que d'autres. Aujourd'hui était un jour sombre. Je ne parle pas météo, non, quoique de gros nuages couvraient l'horizon, mais un vent fort semblait les maintenir loin de l'université. Non, je ne parle pas de ça. Je parle de l'humeur d'Asphodel. Asphodel Greengrass, petite princesse au sang-pur, si froide et dure, ce matin là se laissait gagner par la mélancolie. Père et mère étaient tous deux emprisonnés, trahis par un tatouage sur le bras, un tatouage que si souvent Asphodel avait souhaité arborer. Emprisonnés pour avoir souhaité mieux pour la communauté sorcière, pour avoir voulu la préserver, pour avoir agis en fonction de leurs idéaux. Quelle injustice. La fière Greengrass ne supportait plus d'attendre le procès, d'attendre sans savoir ce qu'il adviendrait de ses parents. Elle était seule, si seule.
Elle avait traîné un moment dans la chambre, en pyjama, tentant de lire, fumant quelques cigarettes, tentant de faire ses devoirs... Sansa n'était pas là lorsqu'elle s'était réveillée, et ce n'était pas plus mal. Asphodel n'aimait pas vraiment laisser voir son état que l'on qualifiera de loque à d'autres. Et puis, elle avait décidé qu'elle serait peut-être mieux dehors. Habillée toute de noir, portant un deuil imaginaire, le deuil de la Grande Famille Fière et de Sang Pur Greengrass (la G.F.S.P.G). Asphodel quitta sa chambre, sortit de l'université, et laissa ses pas la mener sans réfléchir à une destination précise. Et ses pas devaient vraiment la détester. Était-ce un jeu cruel du destin ? Ou alors le hasard faisait-il vraiment mal les choses et se foutait-il vraiment de sa gueule ? A peine arrivée en vue des falaises (un lieu qu'elle aimait pour son calme relatif – pas d'humains, juste des vagues furieuses qui s'écrasaient violemment contre les falaises en contrebas) qu'Asphodel vit ces cheveux blonds qui volaient. Et son corps. Ses bras écartés, au bord d'un rocher. Un ange prêt à prendre son envol. A peine cette pensée s'était-elle formée dans son esprit qu'un goût de bile l'envahit. Qu'est ce qu'il lui arrivait par Merlin ? Ce n'était pas la première fois qu'elle se surprenait à regarder Weasley à la dérobée, et à la trouver... Belle. Rien que le mot lui piquait la langue. Non, Weasley n'était pas belle. Weasley était une cruche blonde, une idiote, une traîtresse à son sang, une horrible peste.

Et pourtant, quelque chose en elle semblait trouver Weasley à son goût. Elle se laissait hypnotiser par ses cheveux qui volaient et fouettaient son visage qu'elle ne pouvait pas encore apercevoir. Elle était arrivée si silencieusement qu'elle ne s'était pas encore faite remarquer. Son cerveau lui faisait l'impression de se séparer en deux. Ses hémisphères se livraient une guerre civile aussi violente qu'insensée. Weasley est belle. Weasley est un monstre. Je veux toucher Weasley. C'est à cause de sa famille que mes parents sont emprisonnés. Je veux que Weasley soit à moi. Je veux que Weasley disparaisse. Une guerre d'arguments et de contre arguments qui sortaient d'on ne savait où. Asphodel était perdue, et la tête lui tournait légèrement. Elle était saisie d'envie et de dégoût en même temps. Et puis, Weasley tourna la tête.
L'avait-elle entendue, avait-elle senti sa présence, Asphodel n'en savait rien. Tout ce qu'elle savait, c'est que les bras de Dominique retombèrent le long de ses flancs, et qu'elle planta son regard dans le sien. Pas longtemps, quelques secondes à peine. Mais le vertige qui l'avait prise en fut accentué. Sa tête était légère et fourmillante. Elle entendait le sang battre dans ses oreilles, son rythme cardiaque soudain accéléré. Et puis, ce fut fini. Weasley tourna de nouveau la tête reportant son regard sur les vagues qui venaient mourir à flanc de falaise. Et un dégoût plus fort encore vint s'écraser contre Asphodel. Qu'est ce qu'il s'était passé ? Qu'est ce qu'elle lui avait fait ? C'était un sort, ou c'était un enchantement, un poison qui allait la tuer à petits feux. Elle fronça les sourcils. « J'vois que t'as fini par te décoller de Zabini. J'commençais à penser que vous aviez été touchés par un maléfice de glu perpétuelle » cracha-t-elle, froide et dure comme à son habitude. Comme s'il ne s'était rien passé. Comme si elle n'avait pas eu envie de l'attraper par le bras et de la tirer contre elle, et de serrer son corps et de ne plus jamais la lâcher.

« T'as pas un autre endroit à polluer avec ton sang impur ? » demanda-t-elle sur le ton de la conversation. Qu'elle disparaisse, qu'elle s'en aille, qu'elle me laisse seule, suppliait Asphodel silencieusement, priant tous les Dieux qu'elle connassait, même ceux auxquels elle ne croyait pas. Pas maintenant, pas aujourd'hui. Qu'elle s'en aille.  
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