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 this place is death. (arabella)

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CURSUS SPORTIF
Lorcan Scamander
Lorcan Scamander

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MessageSujet: this place is death. (arabella)   this place is death. (arabella) EmptyMar 10 Fév - 10:24

Lorcan laisse tomber quelques mornilles dans la bourse attachée à la patte de la chouette, tout en s’emparant du numéro de la Gazette du Sorcier que celle-ci est venue déposer sur ses draps. Le volatile ne lui laisse pas le loisir de flatter quelques instants son plumage, faisant aussitôt demi-tour pour s’envoler au loin, sans même faire attention à son client. Le jeune homme ni prend pas garde non plus, déjà bien plongé dans sa lecture. La routine a déjà repris son cours dans l’enceinte de Spinks – quoi que plus rien n’est comme avant, quand bien même ses disputes régulières avec Darcy et les regards courroucés que lui envoie son frère, doivent sans doute parvenir à former une toute nouvelle routine – et les quotidiens qu’il reçoit, constituent son unique échappatoire. Le seul moyen de savoir ce qu’il se passe au dehors. Le Scamander se laisse lourdement tomber sur son matelas, parcourant quelques instants les gros titres avant de s’attarder sur chaque article, qu’il se plait toujours autant à lire en détails. Son âme de Serdaigle, sûrement, qui fait qu’il ne peut s’empêcher de se montrer curieux de tout et avide d’en savoir plus sur le monde qui l’entoure. Sans doute aurait-il ainsi mieux fait de choisir le cursus pour lequel il se destinait, qui aurait été bien plus enrichissant pour lui qu’un cursus sportif, presque entièrement basé sur le Quidditch alors que, grâce aux maintes lectures que lui a fait Darcy, il s’avère connaître la moindre date ayant marqué ce sport. Toutes les interrogations basées sur l’histoire du Quidditch lui apparaissent trop faciles, un véritable jeu d’enfant. Et au fond de lui, il sait bien qu’il aimerait en apprendre plus sur la nature, le monde qui l’entoure. Approfondir toujours plus sur ses connaissances au lieu de se baser sur ses acquis. Et son colocataire ne manque jamais de lui rappeler son choix, bien malgré lui, alors qu’il travaille sur ses devoirs sur les créatures magiques, sur le bureau juste en face de lui. Mais cette fois, Lorcan ne pense pas à cette frustration. A travers les pages de presse, il parvient à s’instruire et à se questionner sur le monde qui l’entoure. C’est tout ce qu’il lui faut. Pourtant, au cours de sa lecture, il hausse un sourcil, adoptant une expression de visage plus soucieuse alors qu’il s’arrête, perplexe. Si les articles concernant le procès l’ont toujours interpellé de façon bien négative, c’est bien la première fois que l’un d’eux lui apparait si proche de lui. Posant son index sur la ligne qu’il est en train de lire, il tente de s’assurer n’avoir rien halluciné, quelques fois que les quelques verres de whisky pur-feu qu’il a ingurgité quelques soirs plus tôt, lui soient monté à la tête bien tardivement.

Pourtant, impossible de s’y méprendre, il s’agit bien du nom de Neville Londubat qui est inscrit sur la page de la Gazette. Un vieil ami de sa mère que ce type là. Lorcan redresse la tête, lève les yeux quelques instants en direction de Tobias, désireux de partager sa surprise avec lui. Mais le nom de famille du jeune homme lui revient bien vite en tête. Carrow. Il ne peut sans doute pas comprendre, sa famille ayant toujours été de l’autre côté. Sans compter sur Lena, qui tente de le convaincre de rallier leur club pratiquant la magie noire. Des pratiques obscures qui dégoûtent le jeune homme. Sans attendre plus longtemps, il se lève, décidant d’aller voir quelqu’un d’autre. « J’y vais, je reviens plus tard. » lance-t-il à son colocataire avant de s’effacer par la porte, sans attendre une quelconque réponse. Il traverse alors le couloir afin de se rendre quelques chambres plus loin, à la chambre cent une. Darcy se trouve sans être la personne la mieux placée pour parler de cette apparition au détour d’un paragraphe de journal. Lorcan abat son poing trois fois sur la porte, comme à son habitude, tentant de ne pas penser à leur altercation précédente. Après tout, il s’agit de quelque chose d’important, rien à voir avec leur dernière entrevue. Au fond de lui, il sait bien qu’elle ne l’enverra pas voir ailleurs s’il vient lui parler du procès. Après tout, c’est important. Le jeune Scamander garde les yeux rivés sur le quotidien, incapable de détacher son regard des lignes du quotidien. Alors que la porte s’entrouvre, il n’hésite pas à pénétrer dans l’enceinte de la pièce sans toutefois relever son regard, toujours absorbé par la Gazette du Sorcier. C’est ainsi qu’il se laisse tomber sur le lit de Darcy, tout en continuant à lire. « Ils parlent du procès dans la Gazette. » commence-t-il sans rien remarquer. « Ils parlent de Neville Londubat. Tu sais, le meilleur ami de ma mère ? Je… » Soudainement, il s’arrête net. Ses yeux s’écarquillent alors qu’il dévisage la jeune femme lui faisant face. Pas Darcy. Arabella. Que fait-elle là ? Lorcan hausse un sourcil, soucieux. Elle n’est pas colocataire avec Darcy, la Ollivander lui en aurait certainement parlé autrement. Aussi doit-elle être là pour des raisons fort peu honnêtes. « Billie ? Qu’est-ce que tu fais là ? » demande-t-il d’une voix peut-être un peu plus douce que ce qu’il ne l’aurait voulu. En effet, ses accusations dissimulées, doivent à peine se faire comprendre derrière ses mots presque chuchotés. Mais c’est plus fort que lui, dès qu’il pose ses prunelles sur la Yaxley, c’est la culpabilité qui se met à le ronger. Il s’avère incapable de supporter son regard bien longtemps, obligé de le détourner, afin de fixer un poids derrière elle.
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CURSUS POLITIQUE
Arabella Yaxley
Arabella Yaxley

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MessageSujet: Re: this place is death. (arabella)   this place is death. (arabella) EmptyVen 13 Fév - 11:56

THIS PLACE IS DEATH
W/ LORCAN

i see humans, not humanity ✻✻✻
101, c'est con comme chiffre. C'est suffisant, amer, et ça te fait délibérément rire. T'aurais préféré avoir la chambre 100, sans nul doute, mais t'as écopé d'la suivante. 101, ça t'fait tourner en bourrique. C'est trois filles dans une chambre, trois filles qui n'se ressemblent en rien mais qui, Dieu merci, sont toutes les trois des filles dont le sang est parfaitement pur. Une Carrow, une Ollivander et une Yaxley. Ont-ils fait exprès de vous mettre toutes les trois ensembles ? Ont-ils fait exprès de te mettre deux colocataires au sang pur ? Savent-ils au moins ce qui se serait passé si cela n'avait pas été le cas ? Ton père aurait gueulé, Billie. Il aurait gueulé sans se faire remarquer, aurait glissé un peu d'argent dans certaines mains, écrit quelques lettres et pouf ! tu te serais retrouvée avec des colocataires "de ton rang". Tu ricanes ; tu peux bien te permettre de ricaner puisque t'es seule au numéro 101. Darcy n'est pas là, Emily est partie, il ne reste plus que toi. Toi et ta voix, toi et tes pensées. Toi et tes idées. Toi et tes mots, et tes maux. T'es assise sur ton lit, le dos calé contre le mur, et tu réfléchis. T'as un parchemin vierge posé devant toi et deux trois bouquins à côté. T'es censé bosser, pas glander. T'as des devoirs à faire mais tu n'y arrives pas. T'as l'image d'un gars qui tourne en boucle dans ta tête. Tu ne peux pas te permettre de penser à Potter. Et puis pourquoi tu penses à lui, d'abord ? Ce n'est qu'un idiot, il est aussi con que le numéro de ta chambre. Ce qui te fait penser que si Potter se pointait au 101, t'aurais l'air fine. T'es en jogging, Bella. Avec tes cheveux attachés dans un chignon mal fait, des chaussettes immenses et un tee-shirt Linkin Park qui t'es bien trop grand. Il est à Sid. Sid adore Linkin Park. Potter aussi, même que t'as chanté pour lui l'autre soir. « RAH ! » cries-tu dans un murmure rageur. Pourquoi faut-il que tu ramènes toujours tout à Potter ? Tu te lèves péniblement de ton lit, avises ton reflet dans le miroir, avises le tee-shirt Linkin Park, avises que Potter écoute surement du Linkin Park et finalement, t'arraches le tee-shirt d'un coup sec. Il est là, au sol, par terre, et t'es en soutif dans ta chambre. Tu fermes la porte à clé, te déshabilles et files te changer. En sous-vêtements devant ton dressing, tu réfléchis. Tu veux être jolie. Tu veux être sexy. Juste au cas où Potter rappliquerait. Tu n'sais pas comment t'habiller, alors tu prends ton temps. Tu t'observes dans la glace, t'observes ton ventre plat, et ton grain de beauté au nombril. T'observes tes courbes et tu souris en te rappelant que, lorsque tu étais gamine, tu avais peur qu'elles ne se montrent jamais. T'observes ton visage, tes trains fins, qui semblent si doux sans aucun maquillage. Et t'enlèves ton chignon, Billie. Tu laisses ta masse rouge reposer sur tes épaules de porcelaine. On dirait une poupée au cœur de marbre. Une ode à la suffisance, un poème à la gloire de ta descendance. T'attrapes ton fond de teint, et t'appliques. T'effaces le bouton au coin de ta joue, tu masques tes cernes violettes. T'attrapes l'eye-liner et d'un trait noir corbeau, tu l'appliques sur tes deux yeux. Tu prends le mascara, recourbés tes cils. Recourbes encore et encore. Tu prends le Blush, du rose orangé, et tu fausses un sourire pour faire ressortir tes pommettes. Tu fausses un sourire pour bien des choses, même si la plupart du temps tu n'souris pas. Trop sourire inspire la gentillesse. Et par Merlin, Bella, tu n'es pas gentille. T'attrapes une paire de collants noirs un peu usés, avec un style à la grunge que t'adores porter. Tu enfiles une mini-jupe noire en cuir, terriblement rock, terriblement à ton goût. T'attrapes un chemisier blanc, tu l'mets, retrousses vivement les manches, rentres l'habit dans la jupette et arranges le tout. T'enfiles des creepers noires, tes favorites...
Quelqu'un frappe à la porte. Trois fois. En deux secondes, tu ouvres, t'effaces pour laisser entre la personne. Puis c'est là que tu te rends compte. Bordel, c'est Lorcan. Lorcan qui rentre sans même un bonjour, qui s'affale sur le lit de Darcy et qui, sans s'apercevoir de ta présence, commence à te faire la discussion. « Ils parlent de Neville Londubat. Tu sais, le meilleur ami de ma mère ? Je… » À taper causette, t'aurais préféré taper causette avec son frère jumeau. Tu ne savais pas que Londubat était pote avec sa mère mais bon. Soyons honnête. Tu n'en as absolument rien à faire. Tu ne veux plus jamais voir Lorcan Scamender, si ce n'est pour lui cracher au visage ou lui faire de sales plans. D'ailleurs, il semble avoir compris que Darcy n'était pas là et qu'il n'y a que toi au numéro 101. « Billie ? Qu’est-ce que tu fais là ? » Tu ricanes. C'est pas un rire cristallin comme ceux que vous partagiez autrefois, c'est plutôt un truc dédaigneux. Il a l'air franchement étonné. « J'habite ici, Scamender. » siffles-tu, pas vraiment gentille. Lui est doux lorsqu'il te parle. Il t'appelle Billie. Toi t'es dure, tu n'fais pas le moindre effort. T'en as pas la moindre envie. Après ce qu'il t'a fait, il peut toujours crever. « Par contre, j'aimerai bien savoir ce que tu fous encore ici. Comme tu vois, Darcy n'est pas là et c'est pas comme si j'en avais grand chose à faire de l'histoire de Londubat. »
101 c'est un drôle de chiffre. C'est une drôle de chambre, aussi. Une chambre où le ton va peut-être monter.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
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Lorcan Scamander
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MessageSujet: Re: this place is death. (arabella)   this place is death. (arabella) EmptyJeu 19 Fév - 10:45

Plongé dans sa lecture de La Gazette du Sorcier, Lorcan met un certain temps avant de se rendre compte qu’il ne s’adresse pas à la bonne personne. En effet, il lui faut pénétrer dans la chambre et prendre le temps de se jeter sur le lit de la jeune Ollivander, avant de constater que celle-ci ne se trouve même pas être dans la pièce. Il lui faut quelques secondes, passées à contempler bêtement le visage d’Arabella, avant qu’il ne prenne en considération sa méprise. Le rouge manque alors de lui monter aux joues, tandis qu’il se voit submergé par l’embarras. Est-elle venue pour faire subir à Darcy quelques coups bas au sujet de la soirée de fin de troisième année ou vit-elle simplement ici ? La deuxième solution semble être la plus difficile à croire. L’atmosphère doit être électrique dans l’enceinte de cette chambre, si les deux jeunes femmes se trouvent y être réunies. Pourtant, la brune n’a jamais pipé mot d’une telle ambiance au sein de la chambre cent une, lorsqu’elle a brièvement mentionné la présence de deux colocataires. Elle semblait même avoir l’air de dire que tout allait pour le mieux. Et Arabella revêt une attitude sans doute trop sérieuse et offusquée, pour passer comme étant en territoire complètement étranger. Elle semble même avoir envie de défendre son territoire. « J'habite ici, Scamender. » crache-t-elle presque, sa façon de s’adresser à Lorcan, tranchant énormément avec le ton doux qu’il adopte pour elle. Il ne peut pas manquer de s’empêcher de remarquer que, elle aussi, s’est adressé à lui en l’appelant Scamander. A croire que toutes les personnes pour lesquelles il a pu compter un jour, se sont mises d’accord pour le considérer comme un vulgaire étranger, ne méritant rien d’autre que du mépris. Pourtant, Lorcan se refuse à soulever ce détail, préférant laisser son regard se balader sur la pièce. Les docs, le tee-shirt Linkin Park… Tant d’indices qu’il a déjà croisés auparavant en venant voir Darcy et qu’il s’est toujours refusé, inconsciemment, à associer à Arabella. « Par contre, j'aimerai bien savoir ce que tu fous encore ici. Comme tu vois, Darcy n'est pas là et c'est pas comme si j'en avais grand chose à faire de l'histoire de Londubat. » C’est avec un ton encore un peu plus dur qu’Arabella choisi de reprendre la parole, montrant clairement à Lorcan qu’il n’est pas le bienvenue en ce lieu. Le sourire courtois que le jeune homme tentait d’afficher, s’efface alors pour laisser place à un visage neutre. Il détaille avec attention la jeune femme. Belle tenue, tiens donc. Peut-être attend-t-elle quelqu’un. Oui, sans doute attend-t-elle quelqu’un d’ailleurs. La jeune femme n’a pas pour habitude de s’habiller ainsi, aussi n’est-ce sans doute pas pour elle qu’elle l’a fait. Lorcan le sait bien, pour lui avoir tenu la main pendant plusieurs mois et s’être baladé à son bras. « Au pire, tu avais l’air sur le point de partir. » s’autorise à lancer le jeune homme, quand bien même il se sait en territoire ennemi. Provoquer la Yaxley au beau milieu de sa propre chambre, n’est sans doute pas la meilleure des marches à suivre. D’autant plus qu’il ne se sent pas fier en sa présence, sachant pertinemment le mal qu’il a pu lui faire. Mais c’est un trop plein qui finit par lui monter à la tête. Les erreurs passées doivent-elles vraiment lui être reprochées constamment, sans prendre en compte le mal qu’il s’inflige déjà lui-même à force de culpabiliser ? Il n’en est pas bien sûr. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il commence à en avoir plus qu’assez que les personnes ayant un jour compté pour lui, le considèrent à présent comme un étranger. Comme si tout cela pouvait effacer les moments de bonheur qu’ils ont partagé. Pourtant, Lorcan est sûr qu’Arabella ne l’aimait pas vraiment. Comment aurait-elle pu aimer quelqu’un comme lui ? Un sang-mêlé, rien de plus ? « Alors, tu sais quoi ? Je vais te laisser y aller tranquillement et attendre sagement ici l’arrivée de Darcy. Elle rentre bientôt. Promis, je ne toucherais à rien. » Il soutient encore un instant le regard de la jeune femme avant de se replonger dans son journal. Mais son regard insistant le dérange au plus haut point. Il tente de l’oublier, de faire comme si elle n’est pas là. Mais il n’y a rien à faire, impossible d’ignorer son regard vrillé sur lui. Il déglutit, lui lançant sans relever la tête : « Tu es sûre que l’histoire de Londubat ne t’intéresse pas ? Certaines lignes concernent pourtant les gens comme toi. » laisse-t-il échapper d’un air neutre. Les gens comme toi, il sait que cette façon de la désigner va la pousser à sortir de ses gonds. Parce qu’Arabella ne ressemble à personne. Comment une pro sang-pur s’habillant avec des tee-shirts à l’effigie de groupes moldus, pourrait-elle ressembler à qui que ce soit ? Non, Billie est juste cette fille mystérieuse et atypique, qui n’a jamais eu peur de vivre sa vie comme elle l’entendait. Une fille qui s’est éprise du mauvais jeune homme au mauvais moment, un gars dont le cœur était déjà pris. Une fille qui s’est éprise de Lorcan alors qu’il en voulait une autre, celle-là même à qui appartient le lit sur lequel il est assis. Et s’il n’est pas convaincu que le fait d’échauffer la colocataire de Darcy soit une bonne idée pour conquérir le cœur de cette dernière, cela semble déjà bien trop tard pour faire machine arrière.
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