« Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés »
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Balthazar Parkinson
Sujet: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 10:40
BALTHAZAR « BLEIZ » PARKINSON
je voulais qu'on brûlât l'horrible main de gloire
Dernière édition par Balthazar Parkinson le Sam 21 Fév - 7:47, édité 13 fois
Balthazar Parkinson
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 10:40
dites à la vermine
que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposés
CHAPITRE UN
« Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, à cette horrible infection, étoile de mes yeux, soleil de ma nature, vous, mon ange et ma passion! Telle vous serez, ô la reine des grâces, après les derniers sacrements, quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, moisir parmi les ossements.» - baudelaire
Ils sont nés tous les deux dans un monde enclins à les séparer, à leur faire du mal. Dans la demeure alcoolisée, dans une pièce remplie de fureur et de bruits, Balthazar serre de ses doigts damnés le corps charnue de Dolores. Il frôle lentement sa tête de poupées de cire, il la tient tant bien que mal dans ses bras décharnés. Il s’est entrainé avec des bouts de chiffon à tenir la petite fille, leur deux corps sont enclavés, elle est à peine née qu’il ne lui laisse pas voir la lumière diaphane du satin. Leur oncle allume sa cigarette au feu du jour, fait étinceler cette journée suffocante. Leur mère est dans la pièce d’à côté, elle se repose depuis deux jours, on ne l’entend pas murmurer, pourtant elle parle en continue, comme un vieux conte ressassé. Dolores ne pleure plus, le doigt de son frère l’amuse beaucoup plus. Elle est si fragile, Balthazar tend sa paume, et l’ombre couvre le visage de sa sœur. Il est tenté d’imprimer ses sains gigantesques sur la tête trouée de deux gros yeux provocateurs de Dolores . Mais l’enfant a faim, et la mère ne sait plus que s’écouter, elle se met alors à chercher la tétine d’un air agacé. Dans la ville qui voit des corps morts danser, le cri de Dolores pénètre les voutes « Donne lui à manger » Et Balthazar s’exécute, lui donne la becquée, parce que leur père ne veut pas s’occuper d’une enfant de trois ans, et que sa mère préfère s’écouter. Il est calme, placide, presque chevaleresque avec sa sœur. Son naturel turbulent est canalisé en un seul but : faire plaisir à l’enfant. Que reste-t-il de l’infatué ? Si ce n’est qu’un tas de cendre, que sa sœur a doucement piétiné. La cendre noire recouvrait la plante dodue des pieds, mais elle était froide, Balthazar s’était inquiété pour rien, à nouveau. « C’est pour moi ? » Dolores souffle, elle est heureuse. Balthazar a cette étrange habilité à trouver ce qui plairait à sa sœur. Il manifeste une certaine dextérité qui lui vaut un sourire gêné, imperceptible, qui lui fend le cœur en deux. Il précède celui qui serait forcé, mais étincelant, il ne comprend jamais les sourires de Dolores, il aimerait pénétrer son cerveau, s’enfoncer dans le sombre caveau. Dolores, entend tous les tourments de son frère mais ne sait lui répondre. Ils désiraient chacun le don de l’autre, ils voulaient déceler ce que l’autre décelait, ils voulaient comprendre. Dolores se sent toujours à côté, ne sait jamais que faire, les suppliques sourdes de Balthazar restent sans réponse. « Merci » Quelle ingrate ! Elle n’ose faire plus, il est si muet qu’elle s’enfouit un plus dans son insensibilité chronique. Alors, doucement, elle l’enserre de ses doigts chauds, des bras tendres. Il l’accueille avec plaisir, embrasse sa tempe d’un geste protecteur, possessif.
CHAPITRE DEUX
« J'ai fait la saison dans cette boite crânienne, tes pensées, je les faisais miennes. T'accaparer, seulement t'accaparer. D'estrade en estrade j'ai fait danser tant de malentendus , des kilomètres de vie en rose. Un jour au cirque un autre a chercher à te plaire » - bashung
Et Balthazar se mit à penser. Dolly, sa douce et arrogante Dolly. Malgré leur relation houleuse, des plus changeante, elle c’est accroché à sa vie comme si elle était sienne, elle a sauvé un être qui ne méritait que de tomber. Et pourquoi ? Parce que son cœur est déchaîné par une lubie des plus abstruse, anticonstitutionnelle, régissant chaque mouvement, chaque pensée, chaque pas qu’il souhaiterait faire. Sa douce Dolly, ils étaient les enfants séparés, ceux qui préféraient s'arracher les cheveux au lieu de partager le plus simple des jouets. Terribles ? Surement, mais à présent, toute querelle passée est oubliée, ils ne ressassent pas ces cauchemars, n’appartiennent-ils pas à un autre monde ? Ils n'ont jamais eu le luxe de se morfondre dans des rêves les plus roses, ils ne se perdront pas dans ces simulacres d'horreur. L'enfant lui révèle petit à petit son visage, il croit malheureusement qu'elle est des plus gâtées, plus pourrie que lui. Elle s'efforce à se noyer dans son propre malheur, parfois il aimerait appuyer un peu sur sa tête, l'aider dans son acte laid. Il ne peut se résoudre à la transformer, à la modeler à son visage. Il l’a connait si bien à présent. Petite Lo échevelée, son écriture est toujours aussi désordonnée, brusque qu'autrefois, et elle est un malheur à regarder. Mais il ne veut plus la voir, il cessera de la tourmenter, elle, sa Lo, sa Dolly. Elle reste l'enfant brune et rose, brûlante et souillée, celle qui minaude en dévoilant ses épaules lorsque il arrive. Petite soeur, elle était un monstre de domination, elle a manipulé sa vie de ses yeux grimaçants. Mais tous cela dois s'arrêter dès à présent, leurs jeux vicieux prennent fins dès maintenant. Il y met un terme, car sa Lola s’est perdue et il ne fait que lui montrer la mauvaise voie. Dans ses chaussettes informes, elle erre sans âme, sans chagrin, elle n’a rien pour pleurer, pas même les vestiges d'une ancienne estime de soi. Il l’a détruite dès son plus jeune âge, elle lui a interdit d'aimer depuis toujours. Ils s’entre-déchirent, ils se haïssent, oui ils se détestent. Elle danse sur les mots qu’ils avaient tissés, tard le soir quand elle paressait sous sa couette, prétextant la peur de l'orage. Il savait bien qu’elle n'avait peur de rien, si se n'est d'être imparfaite, banale. Oh ! Il l’a voit bien, en bouderies bleues, vêtue de son hilarité rose, parcourir ces mos de ses yeux d'abadir, oui ses pierreries trompeuses qu’elle chérit tant. Non, il lui demande pardon pour tout le mal que qu’il lui a fait, pour toute la médiocrité de son être faible. Le baiser qu’il lui a donné sous la fureur, il le reprend, il ne lui appartient plus. Plus exactement, il lui rend ce moment volé, quand il a souillé ses lèvres des siennes, gangrenées.
CHAPITRE TROIS
« Qu’on en fasse l’épreuve. Qu’on laisse un roi tout seul sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l’esprit, sans compagnies, penser à lui tout à loisir, et l’on verra qu’un roi sans divertissement est un homme plein de misères. - pascal »
Balthazar parcourait les rues désertes, tortueuses qui s’étendaient comme un long squelette écorché par le froid. Carcasse épuisée d’un temps lourd et dictatorial, seul l’hiver semblait sied à sa menue stature, dont les guenilles s’accrochaient à des lambeaux d’âme de fête. Noël approchait et pourtant son esprit si joyeux autrefois restait enfermé dans les cœurs, les mémoires croulantes de quelque débris humain. Seulement, certaines sensations immarcescibles restaient ancrées dans son cerveau, le froid lui apportait le froissement délicat des papiers brillants, l’odeur d’un épicéa fumé dans la cheminée familiale d’où s’élevait de grands feux de joie, et pouvaient, sous ses yeux d’enfants, tendre à lécher un ciel opalin. Mais Noël était loin, sa famille déchirée par des monstruosités disparates. Perdu dans les intestins glacés de Londres, il échafaudait mille pensées perverses réveillant en lui de vieux idéaux brisés. Il revoyait Dolly aux yeux verts, son nez se plissant sous un rire de géant. Ses cheveux tantôt chocolat, tantôt caramel qui glissaient au soleil, comme réveillés par une auréole incandescente. Nymphette des premiers jours, elle était nixe aux pays des fées, son ombre parachevait sa vie. Il chassa ses pensées plus noires que l’encre, tentait de remplir un trou inépuisable de haine et de rancœur. Il allait oublier, il le désirait. Ses idées s’effaçait sous l’empyrée mesquine, il remettait son destin au dieu qui gisait plus haut, les tripes éparpillées sur le sol noir de cris. Il allait oublier, et s’étendre dans un lit défait, auprès d’une femme sans étrennes, sans sentiments. L’oubli lui était si facile proche d’un corps féminin, qu’il lui devenait presqu’inconcevable de ne pas en voir une chaque jour, plusieurs même, parfois. Elles étaient devenues son réconfort journalier, une drogue plus prenante que l’opium. Elles effaçaient au-delà de ses pensées, tout son existence en leur présence était révolue, il se perdait dans le cosmos déformé de ses fantasmes fous. Transfiguré par la chaleur de leur chair, il se blottissait en leur sein, dégoûté par tout semblant de vie. Il était lâche parmi les seigneurs, il était aimé bassement, et son amour pour ces femmes se retenait dans un flacon oxydé par le temps. La jeune femme dont il avait mielleusement quémandé la présence semblait toute disposée à améliorer sa nuit. Sous l’effet grisant de la neige, il pressa le pas, imaginant dès à présent la jeune femme dans son lit chauffé. Elle était devenue déesse de ses nuits profanes, elle lui apportait le plus doux élixir, celui de pouvoir occulter chaque instant passé dans les bras d’une autre. Elle tendant ses bras désespérés et il la recevait sauvagement, avide d’une nouvelle bouffée, d’un nouvel éclat d’obscurité. Il sombrait dans son âme, se délectait d’y perdre pied, et doucement, se noyait dans les affres de son désespoir. Dans les yeux adamantins de Cassiopée, point de chance de s’y raccrocher, ils sont si vides et si ternes, un désert noir s’y confondrait. Un amalgame de nuits profanes et de désillusions, et la mort qui dominait, prêtresse de quelques partisans hiémaux.
CHAPITRE QUATRE
« Dieu est mort. Dieu reste mort. Et c'est nous qui l'avons tué. Comment nous consoler, nous les meurtriers des meurtriers ? La grandeur de cet acte n'est-elle pas trop grande pour nous ? Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement — ne fût-ce que pour paraître dignes d'eux ? » - goethe
Elle défaillait dans sa robe de dentelle, à chaque mot qu’il tissait, il la perdait un peu plus. Les griffes acérées de son désir s’accrochait désespérément à Elle. Elle avait des accents âpres, et dans ses yeux dansaient une insécurité nouvelle. Il l’avait brusquée, il voulait la voir tomber dans les pièges saturnales : sa vie ardente gisait, nébuleuse. Mais il était des secrets ténébreux, il se voulait voleur de songes, il désirait extirper chaque tendresse. La promiscuité était intenable, il voulait la saisir, lui appartenir, cette infatuée qui ne serait jamais domptée. Pourtant il gardait cet espoir fou, vaniteux qu’un jour elle serait sienne, que ces moues boudeuses ne se dresseraient plus contre ses sourires. Mais il nageait dans des brumes platines, son corps était sans cesse rejeté sur la rive. Elle était jonchée de poissons éventrés, leurs râles silencieux se muaient en une tristesse drolatique. Mais elle se tenait là, brune et rose, brûlante et souillée, et elle recevait chacun de ses assauts avec un silence mortuaire, droit, fermé. Elle n’était plus qu’une statue mouvante, drapée d’un désir éteint, fallacieux. Elle se rapprocha, tremblante comme une femme à peine née, et il se noyait dans l’alcool de son amour. Enroulant ses bras de vipères autour de sa taille, elle cherchait ses mots empoisonnés, ses doux attributs. « Mais elle était souillée, la pureté n’avait jamais régné sur son être. » Il la repousse immédiatement, il ne pouvait soutenir la réalité un instant de plus. Et la colère, galvanisante, monstrueuse s’emparait de sa bouche, rendait ses mots déments. Mais elle continuait, alimentant un feu qui n’était que par trop peu éteint. Elle s’efforçait à contenir ses émotions, enfonçaient Balthazar un peu plus dans l’eau douteuse de la passion. Il suffoquait, désirait prendre l’air, s’efforçait de tenir à tête à l’objet de ses désirs. Un rire fou jaillit de sa bouche, et il propagea ses propos durs, acerbes. « Sang de bourbe, comme si j’avais pu un jour m’intéresser à ta petite personne. Moi ? Poser un regard sur son être faible et vénale ? » Elle se retira, ses membres perdus cherchaient un appui : elle n’en n’aurait point, il la fera faiblir, jusqu’à ce qu’elle se casse, se brise. « Je... je ne suis pas sûre de comprendre... » « Tu ne veux pas comprendre. Tes simulacres d’adoration ne m’ont que trop longtemps tourmenté. Je. ne. t’aime pas» Mais elle était interdite, comme une poupée de glace, impériale, alors qu’elle givrait un esprit intoxiqué. « Je ne peux plus. Tu te meus avec ce sourire malsain, ces idées pourpres de mensonges » Il se rapprocha d’elle, embrumé par une colère trop jeune et si vieille à la fois, il la saisit violemment par les épaules et cherchait vainement un indice, un nouvel espoir dans ces pupilles aux multiples soleils. Mais il n’y avait que l’onyx par millier, et ses pierres noires ne voulaient rien révéler. Il vit ses mains tremblantes, et il se retira d’un coup, il ne voulait pas lui faire du mal, il ne pouvait pas la blesser. Il était dos à elle, et il sentait son regard ophidien plongé sur son dos. Elle ne lui appartenait pas, elle ne lui appartiendra jamais. Il était une voix faible, portant distincte, un pauvre être qui se trainerait derrière la traine de sa maîtresse. « Je suis désolé ». Il cherchait une issue, pensait partir de ce lieu suffoquant, l’atmosphère lourde l’asphyxiait. Il prit le chemin de la porte, il désirait si fort qu’elle le retienne. Elle avait réussi à lui faire oublier sa soeur, il avait devoir occulter sa présence, à l'embourbée décadente qui hantait ses nuits.
si vous cherchez des liens, n'hésitez pas, je cherche de tous amantesvenezàmoi j'avais seulement une question pour le staff serait-il possible d'avancer l'âge des jumeaux parkinson ? si non, je comprendrais totalement
Dernière édition par Balthazar Parkinson le Sam 21 Fév - 9:25, édité 12 fois
Lorcan Scamander
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 10:51
LUKE omg. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce choix d'avatar orgasmique sérieux. Puis t'as choisi une famille merveilleuse, j'adore les Parkinson. Du coup, j'ai trop envie d'en savoir plus sur ton personnage. Bienvenue et bon courage pour ta fiche, au fait. Je viendrais sûrement te quémander un lien malgré les trois ans d'écart. N'hésite pas à me mpotter si tu as la moindre question, ou même si tu veux parler de la pluie et du beau temps, qui sait.
Balthazar Parkinson
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 10:56
TORTORELLA mon fantasme de pucelle ouais, luke grimes pour les dix-neuf ans de mon mâle, c'est un peu chaud, mais on se fera un lien bien cool, t'inquiètes puis les parkinsons, ils sont trop badass même si ils ont tendance à trembler -jeuxdemotsàneplusjamaisfaire- fais tellement moche chou qu'on trouvera quoi faire, comme s'abriter sous les couettes
Emily S. Carrow
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 10:58
Welcooome ! Bon courage pour ta présentation
Alayne Holmes
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 11:02
Bienvenue Luke bon courage pour ta fiche
Chiara Harkness
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Mer 18 Fév - 21:15
Luke T'es trop beau. Puis la famille éclate tout, c'est trop parfait. Puis pour ta question, oui, tu peux augmenter l'âge des jumeaux Parce que sinon, niveau avatar ça cale un peu Bref, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire nondidju Oh, et bienvenue ici
Hadès Lestrange
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Jeu 19 Fév - 1:11
PARKINSON PARKINSON PARKINSON GRIMES GRIMES GRIMES t'es beau my gad je viendrai poser mes fesses dans ta boite à mps si j'ai l'temps et bienvenue parmi nous, bonne chance pour ta fiche
Gracie Ollivander
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Jeu 19 Fév - 1:56
Grimes en Parkinson = .
En tout cas, bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Balthazar Parkinson
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Jeu 19 Fév - 4:06
emily, the 100 powa merci chou alayne, god si tu l'avais pas prise, j'aurai fais un personnage avec emily. puis nous faudra un lien parce qu'on est quand même beaux :
Spoiler:
chiara, merci les chous, ça me fait plaisir, je vous promets de bien bichonner mon bleiz tout beau qui est majeur à présent hadès, vient poser plus que tes fesses, parce que lestrange + hédas + ton vava, ça en jette pas mal gracie, teresa oman , je l'aime tellement cette enfant, je viendrais te demander un lien
Arabella Yaxley
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Jeu 19 Fév - 11:11
GRIMES. UN PARKINSON. ET IL VEUT DES AMANTES. j'suis in love. adieu. bienvenue sur SP, il nous faudra un super lien
Lena Avery
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Sam 21 Fév - 1:23
Luke, le bébé. Bienvenue sur le forum et réserve-moi un lien
Balthazar Parkinson
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Sam 21 Fév - 7:22
oh merci les chouchous ara, ton perso a l'air juste dément, je te garde un lien au chaud, puis Yaxley lena, caitlin est trop mimi , je pense à toi dès que je suis validée
Lorcan Scamander
Sujet: Re: « Les anciens dieux vieillissent ou meurent, et d’autres ne sont pas nés » Dim 22 Fév - 21:25
Excuse-moi du délai d'attente, l'intrigue nous prend pas mal de temps et je n'ai pas eu le temps de passer avant. Je viendrais te quémander un lien pour me faire pardonner et je te valide avant l'arrivée de la deuxième partie d'intrigue pour ne pas trop te pénaliser tout de même.
Te voilà donc validé(e)
bienvenue officiellement sur strange progeny
Après maintes épreuves te voilà enfin validé et parmi nous petit membre adoré Si c'est pas la classe. Brefouille. J'aime beaucoup ta fiche, et tout particulièrement le fait que Balthazar soit si calme en présence de sa petite sœur dans la première partie, ça lui donne un côté tout tendre en présence d'enfants, et je crois qu'y a pas mal de jolies demoiselles ici qui ne diraient pas non au fait de l'avoir comme papa de leurs gosses.
Ci-dessous tu trouveras un petit guide de survie afin de s'intégrer totalement. Puis de toute façon, si une chose te chiffonne, n'hésite pas à envoyer un petit mp à un membre du staff qui se fera un plaisir de venir te répondre. Premièrement, si tu veux avoir pleins de petits liens avec les membres du forum, il te faudra créer ta fiche de lien dans la partie adéquate. Si ton personnage fais partie d'un club, il faudra aussi aller te recenser afin d'être dans la liste, c'est par ici que ça se passe. De même, pour que ton personnage ne dorme pas à la belle étoile sous l'aile d'un dragon, il te faudra mieux venir demander une chambre, qui te sera donner au hasard.
Sinon, n'oublie pas de remplir ton profil évidemment, c'est toujours plus joli et ainsi les autres membres peuvent tout de suite avoir une idée. Essaie que ta signature ne déforme pas le forum aussi