Nous sommes en mille neuf-cent quatre-vingt dix-sept lorsque je viens de naître au cœur de la capitale britannique où il semblerait que le temps éternellement gris représente la miséricorde dont semble être victime la populace. Ma mère d'ailleurs, est à la fois heureuse et en même temps, elle souffre de l'absence de son mari qui est mort lors de la chute du pont, détruit pour on ne sait qu'elle raison... Elle aurait tant aimé qu'il soit là à me voir naître et en même temps, elle est satisfaite de donner la vie malgré les malheurs qui s'abattent sur la ville... Jamais elle n'aurait su que cela était dû à un combat dans un autre monde à la fois lointain et pourtant si proche. Un monde qui d'ailleurs, elle allait bientôt découvrir lors de ma onzième année... Une chose qui bouleversa notre existence à tout les deux mais qui la choqua bien plus qu'il ne me choqua moi-même.

Quand on est encore qu'un enfant et que l'on baigne encore dans un monde d'illusion, tout nous paraît beau... Et quand j'appris que j'étais doté de sorcellerie, je me suis tout de suite pris au jeu, essayant alors de retenter de faire voler des objets comme la première fois ou même de faire trembler la pièce et d'allumer les appareils électroniques... Tout cela alors que je n'étais point encore rentrée à l'école Poudlard. Ma mère, elle, fut terriblement inquiète face à mes capacités étranges. Elle eut bien cru que j'étais possédé par un démon et elle a même bien failli faire appel à un exorciste pour se débarrasser de la créature. Du jour au lendemain, elle était incroyablement fatiguée, dépassée par l'enfant qu'elle élevait seule et dont elle avait toujours eut la sensation qu'elle n'arriverait jamais à s'occuper de lui jusqu'au bout. Apprendre finalement qu'il faisait des tours de magie impossibles fut la goutte d'eau qui fit dépasser le vase ! Et c'est avec un grand soulagement qu'elle se débarrassa de lui comme une vieille chaussette au premier adulte qui passa, assurant sans la moindre preuve qu'il enverra le marmot dans une école de sorcellerie...

Laisser ma mère seul m'inquiéta tandis que c'est avec un grand sourire qu'elle m'affirma que c'était pour mon bien si j'allais à cet école, pour que je puisse faire de grandes choses comme le monsieur le disait si bien... J'avais trouvé cela étrange qu'elle me laisse aussi facilement partir avec cet homme alors qu'elle me réprimandait si souvent de ne pas parler aux inconnus, mais je compris, plus tard qu'elle ne comptait seulement se débarrasser de moi, histoire d'avoir des vacances jusqu'à ce que les cours soient terminés. Tandis que ce fut pour ma petite personne, au départ, une bénédiction de rentrer à la maison... En effet, quand on connaît rien au monde magique et que l'on arrive justement dans un endroit aussi imposant et effrayant que celui-ci, j'avais la sensation d'être mis à l'écart ! Et plus encore lorsque l'on vous insulte justement parce que vous êtes issus d'une famille moldue... Fort heureusement, cela fut surtout remarquée lorsque je n'étais qu'un petit garçon, chétif et insignifiant et beaucoup moins au fil des années alors que je commençais peu à peu à m'habituer à ce monde et à m'affirmer.

Les années défilèrent tranquillement sans que grand chose de bien important se passe. J'étais bon élève à Poudlard, n'ayant jamais eus l'impression d'être dans une école, toujours aussi émerveillé par le monde qui s'était ouvert à moi et perdant peu à peu contact avec ma mère qui n'eut cessé de me dire qu'un jour, il fallait que je prenne ma vie en main, et que ce jour arrivera lors de ma sortie des cours. Une manière d'avoir une bonne raison de se débarrasser de moi rapidement. Cependant, elle n'eut pas besoin de se faire énormément prier puisque j'étais bien déterminer à rester définitivement dans le monde des sorciers que je trouvais bien plus préférable que celui des moldu, malgré les histoires sombres qui l'avaient terni. Ainsi, je sortis donc de l'école Poudlard, une larme à l’œil, à dix-sept ans sans savoir ce que j'allais réellement faire plus tard...

Je m'étais présenté à quelques postes sans vraiment être convaincu et à cet époque, l'université n'existait pas encore. Autant vous dire que j'ai rapidement abandonné l'affaire, bien que poussé par mes plus proches amis avec lesquels j'avais gardé contact. Je leur disais que oui, j'étais bien déterminé à trouver une voie, alors qu'en réalité, je partais faire la fête le soir pour dormir durant le lendemain... Et c'est d'ailleurs lors de mes balades nocturnes en voiture et en m'étant éloigné de la ville que je tombai sur une meute de loup-garou. un combat acharné c'était déroulé mais au vu du nombre de lycanthropes face à moi, le combat était perdu d'avance... Ma voiture s'était fait massacrer, m'obligeant à la quitter et à fuir autant que j'ai pu jusqu'à ce que les premiers s'abattent sur moi et me mordent puis me griffent. J'ai bien cru que j'allais périr de mes blessures suite au déchirement horrible dont je fus victime, gisant dans l'herbe et faisant mon maximum pour rester éveillé. Je dû attendre le lendemain pour obtenir l'aide de mes agresseurs, sous leur forme humaine que je reconnu par leur apparence sauvages de par leurs vêtements déchirés... Alors que la nuit même ils me voyaient comme un gibier, le jour levé ils me proposèrent de rejoindre leur meute. Avais-je vraiment le choix ? Non. Ils savaient ce que cela faisait d'être un loup-garou. Je m'étais donc dis que j'allais au moins attendre jusqu'à la pleine lune suivante et voir comment cela se passera pour prendre une décision, rester définitivement avec eux ou les quitter...

Les premiers jours furent les plus difficiles, m'intégrant soudainement à leur quotidien. J'avais plus la sensation d'être avec des canidés plutôt que des humains au vue de leur attitude étrange et de leur face par moment hybride avec ces animaux. Je faisais profil bas et je jouais les fantômes lorsque les querelles menaçaient d'éclater - ce qui était souvent le cas au vue du manque de besoin que l'on avait à disposition pour survivre en pleine nature, dans un camp dans les bois -... Mais malgré les tensions palpables et la vie archaïque, les lycans m'avaient convaincus de rester avec eux... Pour la liberté qui nous étaient donnés. Je n'avais plus besoin de trouver du travail, j'avais des amis avec lesquels ils m'arrivaient de m'amuser, surtout au soir lorsque l'on se retrouvait autour d'un feu à raconter des histoires ou à chanter... Une véritable existence épicurienne !

Mais une existence pas moins maudite aussi... Nous avions accepté notre destin en n'agissant comme de véritables loups, et pire encore ! : comme des bêtes sauvages, allant jusqu'à même massacrer de simples passants en pleine nuit, par soif de chair et de sang, sans même attendre la pleine lune tombée. Peu à peu, je devenais aussi monstrueux que pouvait l'être les autres membres de la meute sans même me rendre réellement compte de l'ampleur de la situation et de l'évolution de mon état. Chaque lendemain, je devenais plus sauvage encore m'intégrant finalement totalement au groupe, même si par moment il m'arrivait de me remettre en question pour finalement me concentrer sur les activités terribles du soir ou de la journée. Des canines semblaient prendre place de façon omniprésente dans ma gueule et mes yeux avaient pris une teinte plutôt surnaturelle. Je n'étais pas beau, j'étais effrayant.

Mais ce n'est sûrement pas mon physique qui m'inquiéta tout de suite. Selon moi, il allait de pair avec mes conditions de loups sauvages... Je n'étais pas le seul à changer étrangement de forme. D'autres même, semblaient être pratiquement constamment sous leur forme de canidé bipède avec leur expression plissée et féroce ! Non, je pense que je me suis mis réellement à m'alarmer lorsque je cru comprendre que la meute était recherché par l'unité de capture des loups-garous suite à l'agrandissement incroyable de la meute au fil du temps qui se fit remarquer sans doute par nos activités. Néanmoins, cela ne me poussa pas pour autant à quitter les seuls personnes que je considérais dorénavant comme à la fois mes amis et ma famille... Non. C'est plutôt après un soir de pleine lune, que j'eus appris être père d'une portée de trois louveteaux qui me poussa à fuir peu de temps après leur naissance. Je savais bien que c'était quelque chose qui arrivait lorsque deux loups-garous s'accouplaient lors d'un soir de pleine lune... A l'intérieur de la meute, ce n'était pas quelque chose d'aussi rare d'ailleurs ! Mais je ne voulais pas me dire que j'étais le géniteur d'animaux qui ne saura jamais capable peut être de me comprendre... Me dire au final que j'étais devenu un simple animal contrôlé par mes pulsions plutôt qu'un être humain... Que peut être, un jour, je leur ressemblerait comme deux gouttes d'eau. C'était horrible d'abandonner la mère avec ces trois petits plutôt que d'assumer la bêtise, mais j'eus préféré être égoïste et refaire ma vie que de m'enfermer dans cette bestialité où je ne serais plus forcément libre...

En deux-mille vingt-et-un, je me retrouve donc seul et malheureusement toujours autant assoiffé de sang. Je n'ose pas tout de suite de retourner en ville, seulement le temps que je me calme et me contrôle pour pouvoir paraître en société. La première chose que je cherche à faire, c'est de créer des potions tue-loup en masse que je bois presque à outrance, quelques semaines avant la pleine lune et de rechercher à nouveau l'amitié avec quelques uns de mes anciens amis que j'ai pu fréquenter à Poudlard. Certains me ferment la porte au nez mais d'autres m’accueillent à bras ouverts et m'aident dans ma renaissance. En cet instant, je compris mon erreur et la terrible bêtise que j'ai pu faire en désirant rejoindre la meute de loup-garou plutôt que de chercher à y renoncer. J'avais donc perdu plusieurs années de ma vie pour finalement retourner à la case départ... Une année plus tard à vingt-cinq ans, je rentrais à l'Université Spinks, ayant apprit que l'on pouvait aller plus loin dans nos études.

C'est en cursus politique que je tentais de rejoindre pour une première année, pensant avoir la chance de profiter d'un tel cursus pour atteindre des gros postes à l'avenir et avoir un rôle à jouer au sein du gouvernement... Mais les choses ne se présentèrent pas aussi facilement que je l'aurais espéré, victime des railleries au vue de mon apparence effrayante malgré moi... et parfois même de bizutage lorsque je cherchais à m'intégrer dans un groupe... Cela suffit pour me briser et à fuir l'établissement pour me reprendre en main et revenir l'année suivante dans un nouveau cursus que je poursuis à présent et dont j'espère aboutir, à présent bien avancé dans ma lancée...

Après maintes épreuves te voilà enfin validé et parmi nous petit membre adoré Si c'est pas la classe. Brefouille. Meeeeec j'adore Aiden! Il est top coolos non de dieu puis tu retranscris genre trop bien la lycanthropie. Bref, moi j'veux trop un lien avec ton petit personnage, c'est diiingue dingue dingue! Je suis content de te valider j'espère que tu te plairas ici petit chenapan

Ci-dessous tu trouveras un petit guide de survie afin de s'intégrer totalement. Puis de toute façon, si une chose te chiffonne, n'hésite pas à envoyer un petit mp à un membre du staff qui se fera un plaisir de venir te répondre. Premièrement, si tu veux avoir pleins de petits liens avec les membres du forum, il te faudra créer ta fiche de lien dans la partie adéquate. Si ton personnage fais partie d'un club, il faudra aussi aller te recenser afin d'être dans la liste, c'est par ici que ça se passe. De même, pour que ton personnage ne dorme pas à la belle étoile sous l'aile d'un dragon, il te faudra mieux venir demander une chambre, qui te sera donner au hasard.

Sinon, n'oublie pas de remplir ton profil évidemment, c'est toujours plus joli et ainsi les autres membres peuvent tout de suite avoir une idée. Essaie que ta signature ne déforme pas le forum aussi

Ensuite, tu as la possibilité de te créer un scénario ou te faire une bande de pote dans la banque de liens. Puis, n'hésite pas à faire connaître le forum en votant sur les tops-sites ou en remontant les sujets bazzart et prd. On compte sur toi pour t'amuser

A très vite.